Madina : tension entre les forces de l’ordre et les vendeurs de médicaments

brusquement fermer. S’il y a la pagaille ici, nous, on ne peut pas vendre. Nos dépenses sont dans nos boutiques, tout est fermé. Il n’y a pas d’accès pour rentrer. C’est pourquoi, nous sommes assis ici et on veut que les autorités nous aident. » Il souhaite que les autorités donnent un préavis pour permettre aux vendeurs de produits pharmaceutiques pour vider les boutiques. Sinon, les opérations menées actuellement impactent même ceux qui ne vendent pas les médicaments. «Moi, je vends les chaussures, mais, s’il n’y pas d’entente, nous nous, on peut pas vendre. Ce ne sont pas les médicaments qui sont là. Il y a des vendeurs de fils électriques, de chaussures. Etc… »

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